LES INSCRIPTIONS AU COLLOQUE SONT MAINTENANT CLOSES
NAVETTES AEROPORT
le mercredi 11 octobre (19h30 départ de l'aéroport Bastia-Poretta vers les hôtels de Corte)
et
le samedi 14 octobre (12h30 départ de Corte Campus Mariani vers l'aéroport de Bastia-Poretta)
Le nombre de places est limité, les personnes qui se sont inscrites pour les navettes seront prioritaires
Au cœur de la thématique du colloque, sont les conditions de la reconstruction du projet démocratique dans les pays qui ont engagé une démarche de reconnaissance des différences, tout en conservant l’horizon d’une émancipation citoyenne vers des valeurs et des références à prétention, si ce n’est universaliste, du moins, globalisée.
Comment, en effet, répondre au défi des revendications liées aux territoires d’origine ou de résidence des citoyens, si la mission de l’éducation civique et morale maintient la prééminence du projet d’émanciper les individus de tous les groupes particuliers qui agissent sur eux ? Est-il encore possible de justifier « l’indifférence aux différences » comme mode d’éducation, dans des pays soumis au double tiraillement d’une culture mondialisée et, à l’inverse, de références identitaires de plus en plus fragmentées, repliées sur des territoires infra-, supra- ou transnationaux ?
Le colloque traitera des questions de la diversité culturelle dans l’enseignement, de la place des minorités dans l’éducation, de la formation à la citoyenneté à l’heure de la mondialisation, dans une perspective historique récente et contemporaine, et sous une forme internationale. En particulier, sera abordée la question des minorités culturelles et leur prise en compte dans des formes d’éducation qui visent la construction d’une citoyenneté, d’un sentiment d’appartenance à société pluriculturelle. Cela inclut de nombreux objets, tels que les langues d’éducation, la scolarisation des enfants issus de l’immigration, la définition des curricula, l’évaluation des compétences.
Comment, en effet, répondre au défi des revendications liées aux territoires d’origine ou de résidence des citoyens, si la mission de l’éducation civique et morale maintient la prééminence du projet d’émanciper les individus de tous les groupes particuliers qui agissent sur eux ? Est-il encore possible de justifier « l’indifférence aux différences » comme mode d’éducation, dans des pays soumis au double tiraillement d’une culture mondialisée et, à l’inverse, de références identitaires de plus en plus fragmentées, repliées sur des territoires infra-, supra- ou transnationaux ?
Le colloque traitera des questions de la diversité culturelle dans l’enseignement, de la place des minorités dans l’éducation, de la formation à la citoyenneté à l’heure de la mondialisation, dans une perspective historique récente et contemporaine, et sous une forme internationale. En particulier, sera abordée la question des minorités culturelles et leur prise en compte dans des formes d’éducation qui visent la construction d’une citoyenneté, d’un sentiment d’appartenance à société pluriculturelle. Cela inclut de nombreux objets, tels que les langues d’éducation, la scolarisation des enfants issus de l’immigration, la définition des curricula, l’évaluation des compétences.